Analyse de la victime et recherche de preuves


Lors d'un meurtre pour pourvoir résoudre leur enquête, les enquêteurs doivent faire appel à des scientifiques, pour analyser le corps de la victime retrouvée.

Toutes les techniques que nous utilisons, ont été développées grâce à l'évolution des moeurs et aux progrès techniques du XIXème et XXème siècle. Il existe plusieurs façon d'étudier le corps, la plus connu étant la médecine légale. La première personne a utilisé la médecine légale est le médecin et chimiste, Mathieu Orfila qui publia entre 1813 et 1815 un Traité des poisons ou Toxicologie générale. Ses recherches ont ensuite étaient complétées par James Marsh. La première étude des poils fut menée en 1869 par Rudolph Virchow . L'odontologie légale est apparue en France en 1897 et permit alors d'identifier les 120 victimes carbonisées retirées des décombres d'un incendie. Puis en 1910, Victor Balthazard, professeur de médecine légale publia avec Marcelle Lambert la première étude approfondie, Le poil de l'homme et des animaux. Les substances étrangères présentes dans l'organisme se fixent, comme les médicaments, les stupéfiants, les dopants ou les poisons, sur les cheveux et les poils et permettent une analyse toxicologique depuis 20 ans et joueent un rôle important dans les analyses d'aujourd'hui. En 1959, le professeur P. Morel organise un département d’anthropologie médico-légale, chargé essentiellement d’intervenir dans les identifications judiciaires. Malgré tout ce progrès, certaines techniques sont encore remises en cause, les techniques d'identification du corps par l'entomologie basées sur les expériences de Jean-Pierre Mégnin sont aujourd'hui remises en cause car les expériences qui aurait été effectuées ne prendraient pas en compte tous les facteurs essentiels.

Ainsi, à partir de ces techniques développées, le corps est ainsi analysé de plusieurs façons différentes. Tout d'abord, l'analyse du corps dépendra de l'état de décomposition et d'une mort inférieure ou supérieur à 72 heures. Dans le premier cas, la mort datant de moins de 72 heures, le corps n'est pas encore putréfié les scientifiques utiliseront la médecine légale, le corps sera autopsié par le médecin légiste pour trouver l'heure de la mort. Lors de l'autopsie, le médecin légiste, déterminera l'origine de la mort. Lorsque la mort date de moins de 24 heures, des prélèvements sont effectués pour déterminer si la victime a été empoisonnée. Dans le deuxième cas, la mort date de plus de 72 heures et les scientifiques utiliseront l'entomologie légale pour déterminer le jour de la mort. L'entomologie permet également de déterminer où la victime a pu être blessée avant sa mort. Lorsque que la mort date de plus d'un ou deux mois, le cadavre retrouvé est un squelette et pour les besoins de l'enquête, il est parfois nécessaire de reconnaître le cadavre. La première technique utilisée est l'odontologie médico-légale, la deuxième est la reconstitution faciale, l'artiste judiciaire travaille sur le crâne de la victime en suivant les indications des Anthropologues sur certaines particularités du squelette.


A) Autopsie, toxicologie et entomotoxicologie





Il existe deux types d'autopsie, la première est l'autopsie médicale qui consiste à expliquer la cause d'une mort naturelle et la deuxième est l'autopsie médico-légale.

L'autopsie médico-légale, que pratique la police scientifique, est une autopsie demandée par une autorité judiciaire sur une mort suspecte lors d'une enquête.

Durant l'autopsie, le médecin légiste examine le corps du cadavre. Elle permet d'éclaircir les causes de la mort en étudiant les lésions externes et internes du corps.

(recherche d'une mort violente ou provoquée telle qu'une noyade, une strangulation, un étouffement, etc..). Elle recherche également des traces de viol, d'alcoolisation,

d'intoxications diverses. Le médecin légiste effectue des prélèvements pour y effectuer des tests et permettre de savoir si la victime à ingérer des toxines et en quelles quantités. Ces tests sont effectués à partir du sang ou de l'urine. Dans certains cas on peut également utiliser les cheveux. Pour confirmer la présence de toxine dans les affaires criminelles, où il ne doit pas y avoir d'erreurs, on utilise la chromatographie qui sépare les molécules puis on l'analyse par spectres ultraviolets. Si le poison est décelé, son trait correspond au pourcentage de toxines présentes dans l'échantillon.

L'autopsie doit être complète, ne laisser de côté aucune partie du corps susceptible d'être examinée. Pour cela, l'autopsie commence par la partie externe du corps, et par la recherche des lésions. Les orifices naturels sont également examinés.

Puis l'autopsie continue par la partie interne, des incisions sont effectuées dans le derme (couche profonde de la peau) pour permettre la recherche d'ecchymoses et d'hémorragies. Les différentes cavités du cadavre (le thorax, l'abdomen et le

bassin) sont ouvertes et inspectées. Les viscères sont prélevés

et examinés macroscopiquement. D'autres organes du cadavre sont également observés, c'est le cas en particulier du pharynx et du larynx. Puis l'encéphale (contenu de la boîte crânienne) est prélevé après ouverture de la calotte crânienne. Différents prélèvements (sang, urines, contenu de l'estomac, bile, intestin, phanères, muscles, peau, os, etc…) sont quelquefois effectués. À la suite de ces différents examens, le cadavre est reconstitué. Le médecin légiste doit parfois utiliser l'entomologie pour révèler la présence de toxines dans le corps, l'urine et le sang se dégradant rapidement, le médecin légiste doit utiliser une autre méthode qui le lie à l'entomologie pour réaliser des prélèvements. Ainsi, au bout de quelques jours les dosages classiques deviennent impossibles. Les larves d'insectes nécrophages, se nourrissant du cadavre absorbent ces substances, et sont alors utilisées pour effectuer les dosages. Il est évident que les dosages dans les larves d'insectes sont disproportionnés par rapport à la présence d'une drogue dans un cadavre. Cependant des rapports entre la concentration d'une drogue dans le corps et la concentration dans les larves ont été mis en évidence. Les insectes à tous les stades de développement peuvent être utilisés, mais il est préférable en cas d’expertise toxicologique de choisir des larves avant le passage de l'état de larve à l'état de nymphe où l'accumulation des drogues est maximale. Après cette période, les larves cessent de se nourrir et éliminent les drogues, qui atteignent des concentrations faibles qui deviennent indécelables par les techniques d’analyses classiques. Lorsque la découverte d'un corps est faite après plusieurs mois, seuls les restes d'insectes sont utilisés. Les restes les plus résistants sont les peaux vides de Diptères, présentes à proximité du corps, à la surface du sol ou enterrées à 3 cm de profondeur sous le corps. Les peaux sont tés résistantes aux conditions climatiques et peuvent être retrouvées intactes de nombreuses années après l'apparition des adultes. Souvent, on trouve également des mues de coléoptères. Si le cadavre a été retrouvé dans une maison ou un abri, on trouvera des mouches mortes desséchées et des restes d'insectes. Ces restes permettent d'identifier la drogue présente dans la peau car elle accumule la drogue toute au long de la vie de l'insecte. On parvient à identifier la drogue par des méthodes correspondantes à celles utilisées pour les cheveux. On peut alors dire si la victime avait absorbé une drogue avant de mourir, même plusieurs années après le décès.

De plus, les drogues et médicaments présents dans le corps peuvent avoir une influence sur le développement des larves de Diptères nécrophages, accélérant ou raccourcissant la durée de croissance. Cette donnée donc est à prendre en compte lors de l’estimation de la date de la mort par l'entomologiste.

 








B) Entomologie


L'entomologie est la science qui étudie les insectes, quand elle est mise à disposition de la justice, on la qualifie de légale ou de forensique, ainsi l'entomologie est utilisée pour dater la mort que si le corps est putréfié, c'est à dire uniquement après quelques jours suivant le décès. Passé ce délai, la datation par les méthodes traditionnelles devient difficile alors l'entomologie légale entre en jeu. Les insectes nécrophages, qui participent de manière active à la dégradation du cadavre, deviennent alors des indicateurs. A la suite de l'expertise on peut également apporter des informations sur d'éventuels transports ou manipulations du cadavre ou sur les circonstances et les causes de la mort.

Le cadavre en décomposition devient un milieu dans lequel vont se succéder les différentes espèces nécrophiles. On distingue quatre catégories d'insectes selon leur régime alimentaire, les espèces nécrophages sont les plus utilisés pour la datation, car elles se nourrissent exclusivement des tissus cadavériques mais les prédateurs et parasites ont également une grande importance car leur activité dépend étroitement de celle des insectes nécrophages dés quels ils se nourrissent. Les deux autres catégories sont moins importantes mais sont à prendre en compte, les insectes omnivores qui se nourrissent à la fois des tissus cadavériques et des autres insectes et les espèces opportunistes qui utilisent le corps comme un abri. Ces insectes ont un cycle de développement particulier qui correspond au métamorphose des larves jusqu'à leur forme adulte. Les premiers insectes qui apparaissent sur le corps ont une métamorphose dite incomplète, à l'éclosion, la larve est une réplique plus petite de l'adulte qui va grandir grâce aux mues, ses ailes apparaîtront à la dernière mue. Puis dans les dernières escouades, apparaissent des espèces à métamorphose complète , à l'éclosion, les larves ont un mode de vie différent des adultes et se nourrissent de feuilles ou d'autres insectes. Après plusieurs mues, la métamorphose à lieu, la larve se transforme en nymphe qui se protège par un cocon ou es'enterre jusqu'à la fin de la nymphose où elle a atteint sa forme adulte.

Cette base sur la formation des insectes permet la datation de la mort par l'entomologiste. Deux types de datation sont distinguées, la première étant la datation à court terme et la deuxième à long terme.

La datation à court terme est basée sur les cycles de développement des insectes nécrophages et des variations engendrées par la température et l'hygrométrie. Chaque espèce d'insectes présente des durées particulières pour chacun des stades de développement. Habituellement, le développement d'un insecte nécrophage est divisé en quatre phases distinctes : l'œuf, la larve, la nymphe et l'adulte

La ponte a généralement lieu dans les blessures ou dans les orifices naturels, la durée d'incubation dépend de la température qui peut varier d'une dizaine à une centaine d'heures. La période larvaire est un stade de nutrition, les jeunes larves cherchent à pénétrer dans les tissus sous-cutanés. Pour passer de l'état de larve à celui d'adulte,

la larve quitte le cadavre pour s'y enterrer à quelques mètres, la peau devient une enveloppe rigide protégeant la peau, brunissant en vieillissant, la métamorphose dépend de la température. Dans des conditions optimales (température et alimentation protéique ), les jeunes femelles sont capables de pondre une semaine après leur émergence.

Pour la datation à long terme, il faut reconstituer les étapes de la colonisation du cadavre par les insectes. Ces étapes sont schématisées pendant des conditions normales de température, par des escouades se succédant sur le corps. Ainsi, Mégnin, en 1894, a réparti les insectes retrouvés sur les corps humains en huit escouades arrivant au fur et à mesure de la décomposition. La présence d'une escouade étant dépendante des modifications du substrat, des conditions météorologiques, de la taille et de la situation du corps, il arrive que des escouades apparaissent en même temps ou bien quelles n'apparaissent pas apportant ainsi plus d'informations aux enquêteurs.

En Europe, dans des conditions de température normale, la dernière escouade intervient trois ans après la mort du cadavre se nourrissant des restes des autres escouades. Les restes des insectes présents sont ceux des sept autres escouades qui ont précédées. Les insectes de la première escouade sont attirés sur le cadavre immédiatement après la mort, alors qu'aucune odeur ne se fait encore sentir. Ce sont des Diptères. La deuxième escouade apparaît dès que l'odeur cadavérique se fait sentir. Elle est constituée de Diptères de la famille des Calliphoridae et de la famille des Sarcophagidae. La troisième escuade est attirée sur le cadavre par les acides gras volatiles dégagés lors du rancissement des graisses (odeur de beurre rance). Elle comprend des Coléoptères et des Lépidoptères. La quatrième escouade intervient entre trois et quatre mois après la mort sur le cadavre lors de la fermentation caséique (odeur de vieux fromage). On y trouve des Diptères, des Piophilidae et des Muscidae ( ainsi que par des Coléoptères reconnaissables à leurs couleurs métalliques). La cinquième escouade dure de quatre à huit mois et apparaît au moment de la fermentation ammoniacale et comprend des Coléoptères, d'autres Diptères, et des Phoridae. Lors de la sixième escouade du sixième mois au douzième mois, les acariens entraînent, la perte d'eau du corps appelée la dessiccation. Au bout d'un an et jusqu'à la huitième escouade, la septième escouade apparaît lorsque la cadavre est complètement desséché, elle est constituée de Coléoptères, de Lépidoptères et des Oecophoridae qui se nourrissent en temps normal de matière animale sèche (fourrures, animaux empaillés, laine, etc.). Certaines espèces reviennent souvent dans les escouades, les entomologistes les différencient en plusieurs familles leur permettant de trouver la date de mort.

L'entomologue permet également possible de savoir si le corps a été déplacé après la mort. Certaines mouches préfèrent des habitats spécifiques pour la ponte de leurs oeufs dans un environnement extérieur ou intérieur. Certaines mouches peuvent également manifester des préférences pour des cadavres dans les endroits ombragés ou ensoleillés. Par conséquent, un cadavre que l'on récupère à l'intérieur avec des oeufs ou des larves de mouches qui habitent généralement dans un endroit ensoleillé et en plein air semblent indiquer que quelqu'un est retourné sur les lieux du crime et à tenter de dissimuler le corps.

Ainsi, l'expertise entomologique permet une estimation en fonction de la rigidité, des lividités cadavériques ou de la température du corps, ou avec des méthodes histochimiques ou bactériologiques de trouver la date de la mort d'un corps putréfié. L'entomologie légale est également capable de remarquer le déplacement d'un corps.




Cadre selon Mégnin



C) Identification d'un squelette

 




L’identification d’un corps en décomposition fait appel à plusieurs spécialités médico-légales, notamment à l’anthropologie, l'odontologie et à l'art forensique. L'anthropologie étudie les corps brûlés, décomposés ou à l'état de squelette. Les anthropologues sont souvent sur la scène du crime pour permettre de trouver plus d'informations nécessaires à l'identification. Les experts cherchent également des blessures et des cassures qui peuvent avoir causées la mort.

L'odontologie est utilisée pour comparer les radios dentaires d’une victime et celles de personnes disparues. Elle étudie également les marques de dents sur un corps pour en identifier l’auteur. La dent est un outil médico-légal majeur par sa composition, sa résistance et ses caractéristiques.

L'art forensique permet de présenter une information visuelle qui aide à l'identification d'un cadavre ou d'une personne disparue. Les enquêteurs reconstituent en 3 dimensions, à partir du crâne d'une personne décédée le visage de cette personne ou bien modifient la photo d'une personne disparue en la vieillissant afin de tenir compte du temps qui a passé depuis sa disparition.

Toutes ces techniques sont indispensables à l'artiste judiciaire qui souhaite reconstituer le visage d'une personne à partir de son crâne. Cependant avant d'utiliser une méthode reconstructive, il faut d'abord employer des méthodes comparatives. Ces méthodes comparatives utilisent des éléments d'avant la mort fournis par les enquêteurs et des éléments d'après la mort recueillis par les experts médico-légaux. La craniophotocomparaison est une méthode anthropologique qui consiste à comparer un crâne avec des photographies de personnes disparues. Pour cela le crâne est dessiné au dioptrographe et comparé à des personnes disparues semblant lui correspondre. Elle utilise une comparaison de marques et d'angles permettant de travailler sans tenir compte de l’échelle des documents. Elle permet de déterminer le sexe, l’âge et le phénotype d’un individu. En mettant en évidence des particularités osseuses, elle permet de découvrir des caractéristiques morphologiques visibles utiles pour l'identification. En effet, il existe un rapport entre le relief osseux et les tissus mous de la face. Pour réaliser correctement une craniophotocomparaison, il faut prendre en compte l'expertise odontologique, ainsi, si des dents sont absentes avant la mort, le corps retrouvé a subi un glissement de la mâchoire et la craniophotocomparaison subira des changement. Si après, ces analyses, les experts n'ont pas réussi à identifier le corps, ils peuvent avoir recours à la sculpture forensique. Cette reconstitution est influencée par les tissus mous, sur leur épaisseur, leur corpulence, leur âge et par 26 points principaux du visage. Pour aider à la reconstitution en trois dimensions, les artistes forensiques peuvent également dessiner les visages de personnes décédées. L'artiste forensique doit se renseigner sur la pathologie forensique afin de savoir de quelle manière le visage se modifie après la mort, selon la position, le climat, le lieu où le corps a séjourné, etc.

Lorsque le crâne retrouvé est encore recouvert de chairs, l'artiste judiciaire doit faire bouillir le crâne pendant sept heures. Pour reconstituer le visage, il se base sur l'orientation des muscles et de leur corpulence. L’expert peut également utiliser une photographie d'une personne recherchée, la faire correspondre sous un même angle à la boîte crânienne, afin de relever une possible compatibilité d’identité. Pour commencer la reconstitution l'artiste forensique doit d'abord faire un moule du crâne ou bien réaliser un crâne en argile à partir de photos. Il utilise la réplique du crâne, pour faire des marques, de petits trous sont percés pour que des chevilles en bois soient insérées à des endroits précis afin de mesurer la profondeur de la peau. Ensuite, l'expert applique une pâte, qui représente les muscles, autour du nez, de la bouche, des joues et des yeux et une fine couche sur le haut du crâne. Les caractéristiques faciales sont modelées afin d'obtenir l'apparence de la personne. Une perruque et des yeux sont ajoutés, ainsi que du maquillage. Aujourd'hui une autre technique commence à être utilisée. Elle consiste à faire tourner le crâne, pendant qu'un laser de haut en bas envoie des informations à un ordinateur qui crée un portrait en trois dimensions respectant les origines raciales.

L'odontologie, qui étudie l'occlusion dentaire, mêlé a l'anthropologie qui permet de connaître le sexe et ainsi des indications importantes sur la morphologie du corps, détermine de façon remarquable, l’aspect du visage. Une erreur dans la détermination du rapport inter-maxillaire influe sur l’identification. Il est dur d'avoir une identification la plus fiable possible sans une expertise odontologique.


 


 

 

 

 

 

 


Conclusion


Dans cette partie nous avons pu voir que grâce à des expertises, il est désormais possible d'identifier de plus en plus les victimes grâce aux méthodes qui se développent. L'informatique prend une place plus importante dans la résolution des enquêtes. Des logiciels de plus en plus perfectionnés existent permettant d'exploiter des informations plus sûres pour la suite de l'enquête.

Les différentes expertises sont liées et il est important que toutes les informations soient communiquées entre experts de différentes branches. Ainsi, un médecin légiste envoie des prélèvements au toxicologue s'il n'effectue pas lui même les tests. L'entomologue qui relève des insectes autour de la victime doit les transmettre au médecin légiste pour permettre une analyse toxicologie du cadavre au travers des insectes. Toutes ces analyses, permettent de découvrir la vérité sur les corps, la cause de leur mort, leur date de mort, l'identification d'un mort, déterminer la blessure mortelle, une blessure post-mortem ou ante-mortem ... Ces analyses sont parfois une grande aide à la résolution d'une enquête.

Nous sommes fiers de vous présenter notre production finale de notre TPE sur la police scientifique.

M. B.
S. M.
L. M.
Les informations présentes ne sont pas forcément exactes, merci de les vérifier !
Aujourd'hui : 1 visiteurs
Ce site web a été créé gratuitement avec Ma-page.fr. Tu veux aussi ton propre site web ?
S'inscrire gratuitement